
Introduction
Lorsque nous nous blessons, quelques jours plus tard, à l'endroit de la blessure apparaît une cicatrice qui empêche toute infection. Mais chez certains animaux, comme l'axolotl ou le poisson zèbre, les cellules «perdues» suite à une blessure, se régénèrent et peuvent même reformer leurs membres amputés.
Chez l’homme, il y a la cicatrisation. C’est la mise en place d’un tissu fibreux, une fibrose qui est une cicatrice. Il y a un avantage sélectif à la cicatrisation (c'est à dire des avantages et des inconvénients): La cicatrisation ferme la plaie beaucoup plus vite et permet de protéger les tissus plus rapidement. En contre partie, elle est aussi associée à une perte de fonction. Des tissus chez l’homme se régénèrent très bien comme les tissus du foie et du système digestif.
La régénération met plus de temps pour refermer la plaie dans un premier temps, ce qui laisse les tissus exposés aux infections plus longtemps. Il n’y a pas de perte de fonction.
« Une propriété exceptionnelle qui, évidemment, intéresse les scientifiques au plus haut point, pour essayer d’appliquer ce processus à des patients humains. Beaucoup de chercheurs pensent d’ailleurs que cette capacité est intrinsèque* à tous les vertébrés, mais qu’elle se trouve inactivée chez la quasi-totalité d’entre eux. C’est pourquoi ils continuent leurs efforts pour découvrir le bouton «On» que nous posséderions en nous ».
D'après cet article nous apprenons que les vertébrés tels que les hommes pourraient avoir la capacité de régénérer leurs cellules mais qu'ils ne seraient pas capables de «l'activer».